Les recensements

 

1876

RICARD Prosper fermier marié 53 ans
JALABERT Rose ménagère mariée 52 ans
RICARD Prosper sp célibataire 14 ans
RICARD Henriette sp célibataire 58 ans
RICARD Marie sp célibataire 17 ans
AVIGNON Henriette sp veuve 80 ans

1881

RICARD Prosper cultivateur chef 59 ans
RICARD Rose femme 56 ans
RICARD Prosper famille 18 ans
RICARD Marie famille 20 ans
RICARD Henriette ascendant 59 ans

1886

RICARD Prosper chef 62 ans
LAURE Rose épouse 56 ans
RICARD Prosper enfant 24 ans
BASCOUL Louis domestique 22 ans
BRAL Rosalie domestique 12 ans
RICARD Henriette tante 64 ans

1891

RICARD Prosper cult. chef 67 ans
LAURE Rose sp femme 60 ans
RICARD Prosper cult. fils 27 ans
MARC Anna sp femme 27 ans
RICARD Marie sp fille 3 ans
RICARD Anna sp fille 2 ans
RICARD Henriette sp tante 70 ans
ROQUES Jean domestique berger 63 ans

1896

RICARD Prosper cult. chef 34 ans
MARC Anna sp femme 35 ans
RICARD Maria sp fille 7 ans
RICARD Anna sp fille 6 ans
LAURE Rosalie sp mère 63 ans
RICARD Henriette sp tante 76 ans
TEYSSIE Jean cult. domestique 26 ans
BOUSQUEL Frédéric cult. domestique 56 ans
SUDRIES Justine cult. domestique 19 ans

1901

RICARD Prosper cult. chef patron 39 ans
MARC Anna sp femme 40 ans
RICARD Maria sp fille 12 ans
RICARD Anna sp fille 11 ans
LAURE Rosalie sp mère 67 ans
RICARD Henriette sp tante 80 ans
RIVEMALE Jean ouvr. agri. domestique 69 ans Patron = Ricard
ANINAT Elie ouvr. agri. domestique 26 ans Patron = Ricard
DEVIS Eloïse ouvr. agri. domestique 21 ans Patron = Ricard

   
   

 

 

Site personnel

Directeur de publication
Christel BOUZAT - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Réalisation
Christel BOUZAT

Hébergement
OVH - 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix - France

Je remercie mon défunt cousin André GAUBERT pour m'avoir aidé à commencer mon arbre généalogique des GAUBERT. Il m'a permis de remonter au couple :

GAUBERT Jean Joseph (10/03/1823 Les Canabières - 10/08/1890 Les Canabières)

x 14/02/1852 à GAUBERT Marie Catherine Julie (09/01/1829 La Carrerie- 07/02/1895 Les Canabières).

 

Il m'a aussi aidé à faire l'arbre descendant de ce couple en contactant chaque personne afin d'obtenir toutes les dates.

 


 

Ensuite, je remercie Louis CODOMIER, généalogiste, qui m'a permis de remonter deux générations supplémentaires (union GAUBERT - TARRAL). Il m'a aussi permis de réaliser l'arbre descendant de ce couple. D'ailleurs, il a eu l'excellente idée d'organiser un repas rassemblant les descendants de ce couple à Durenque le 12/08/2001.

 


 

Je remercie également Christophe EDO qui m'a fait découvrir de nombreux sites de généalogie et qui m'aide à remonter ma branche des MARC du Tarn.

http://christophe.edo.free.fr/roques/ et http://muratsurvebre.free.fr/index.php

 


 

Je remercie le Cercle Généalogique du Sud-Aveyron (CGA), sans lequel mes recherches n'auraient pas été aussi fructueuses. En particulier, je remercie son ancien président Monsieur MIQUEL pour son aide au sujet des GAUBERT des Canabières. D'ailleurs, il a eu la gentillesse de me permettre de consulter ses recherches concernant le couple GAUBERT-GREGOIRE que nous avions en commun.

http://www.genealogie-aveyron.com/

 


 

Je remercie les mairies de Tauriac-de-Camares et de Mélagues qui m'ont facilité la recherche dans leurs archives.

 


 

Enfin, je remercie les nombreux généalogistes qui m'aident et répondent à mes questions.

Brusque est un village pittoresque du Sud-Aveyron, situé dans le Parc Naturel des Grands Causses à proximité du Tarn et de l'Hérault. Un lieu idéal pour vos vacances car il est à proximité de diverses paysages (Rougier, Monts-de-Lacaune, Caroux, Espinouse) mais aussi de sites connus comme Sylvanès, Roquefort, le Viaduc de Millau, La Couvertoirade, Brousse-le-Château, Peyre... 

Promenez-vous dans le quartier du Castellat pour profiter de sa beauté.

Brusque est un site idéal pour profiter de la nature et se ressourcer. Vous serez à proximité du Rougier, des Monts de Lacaune et du Merdélou, du Caroux et de l'Espinouse.

 

Voici une liste de sites à voir sur la commune :

- L’ermitage dédié à St-Thomas Becquet et ses fresques de Thomas Becquet. Vous pourrez profiter de sa source.

- Le château ou castelat : les ruines du château dominent le village.

- Le clocher de l'ancienne Eglise Saint-Jacques du Castellat.

- Le quartier de l'ancien château fort avec la maison Carrière avec un beau jardin qui domine le Dourdou.

- Les petits ponts sur le Sanctus menant au Castellat

- La tour Saint-Jacques.

- La grotte Notre-Dame ou grotte des Baumes (document) : elle évoque une réplique de Lourdes. Une messe y est célébrée chaque 15 août.

- Rochers La Dent de Saint-Jean et le Rocher de la Fouace

- L'Eglise Saint-Martin et sa nef

- Le Pont-Vieux

- Exposition Arts & Traditions au Pensionnat St-Thomas gérée par Eliane SALVAGNAC : crèche avec santons fabriqués au crochet, expositions à thème renouvelé chaque année (la vie du village autrefois, l'école, l'univers musical à Brusque, les robes, Roquefort,..)

- Les tapettes Fascagat de l’entreprise BMI

- Blanc-su-Sanctus à proximité (circuit découverte passant par cet hameau)

- Les mine antique de Bouco-Payrol sur la randonnée qui mène au Merdélou (document intéressant)

 

Animations et Festivités : La Brusquoise fin août (randonnées VTT)

Site intéressant : Aux Pays de mes Ancêtres à Brusque.

 

Quelques sites avec de belles photos :

- Mes voyages en France à Brusque Sud-Aveyron

- France-Voyage à Brusque Sud-Aveyron

- Le blog de Roseline avec Mélagues, Brusque et Tauriac-de-Camarès

- Chronique et description du Brusquès de Jean COT

- La Clote à Arnac-sur-Dourdou présente Brusque

- Photos d'une balade de découverte du village de Brusque et du vieux village suivi des Rougiers de Camarès.

 

Télécharger la page en PDF avec les photos

 

Le lieu de départ est Brusque car nous vous conseillons de choisir l'hébergement au VVF de Brusque en Sud-Aveyron qui dispose de nombreux types d'hébergement (appartements, chalets en bois ou camping avec les hypitipy ou les toilés meublés).

Le VVF-Villages de Brusque est le site idéal pour se ressourcer, profiter des bienfaits de la nature tout en bénéficiant de nombreuses activités dans ce paradis !

Cet hébergement possède son propre plan d'eau, vous profiterez ainsi d'une eau naturelle sans être les uns sur les autres. Vous pouvez aussi découvrir certains lieux proposés avec les animateurs nature lors des randonnées proposées. Ce lieu idyllique est le meilleur endroit pour profiter des activités sportives avec les animateurs de l'UCPA.

Si vous êtes en famille, les enfants pourront profiter des nombreuses animations des clubs.

Découvrez la description sur le site VVF Villages et les animations sur leur page Facebook.

 

Juin 1915

Le 2 juin parti de Menton et descendu à Bussand et resté à Krüt.

Le 17 juin 1915 parti de Krüt sur la ligne de feu et resté dans les cagnas.

Le 18, le 19, le 20, le 21 dans la tranchée et travaillé nuit et jour.

Le 22 dans la tranchée près St Dernac, village en feu.

Le 23 à Métjèral pareil.

Le 24 sous réserve près de l'infirmerie et couché sous la toile de tente.

Le 25 couché tout le jour même endroit.

Le 26 repos en troisième ligne même endroit.

? Vallée de la Techt

Le 27 dimanche toujours au même campement, repos en troisième ligne.

Le 28 parti le soir pour aller au repos à Mittach.

Le 29 toujours au repos.

Le 30 toujours au repos.

 

Juillet 1915

1 toujours au même endroit, le soir en tenu de départ.

Le 2 toujours même endroit, revu des cartouches et des vivres.

Le 3 toujours même endroit, revu du commandant, sac complet, avec tout le fourniment, le soir fanfare théâtre guignol.

Le 4 Dimanche matin exercice, soir repos complet.

Le 5 matin et soir exercice.

Le 6 matin on est allé faire des tranchées, le soir repos

Le 7 matin et soir faire des tranchées.

Le 8 service en campagne, le soir repos.

Le 9 matin comment l'on fait pour aller en patrouille, soir service de propreté.

Le 10 sous réserve prêts à partir.

Le 11 et 12 Mauvais temps, vent ces deux jours.

Dimanche 11 sous réserve, repos complet.

Le 12 au repos, exercice le matin manière d'apprendre les noms des gradés et tâcher moyen de s'en souvenir, soir allé faire une tranchée et après revu des cartouches et de vivres.

Il fait froid.

Le 13 matin la manière de prendre une tranchée à l'assaut, soir exercice et amusement.

Le 14 fête de notre République dont nous l'avons bien célébré, premièrement repos pour nous, bonne soupe, bon rata et tout le contenu, soir grande représentation, course aux mulets, coup de la poêle avec la pièce de 10 centimes, le saut fait par des amateurs de boxe, le coup de rinve, le parquet rempli d'eau et enfin la distribution des prix, après nos chanteurs qui se sont distingués par son chant, la soupe, dont on a bien mangé le soir grand concert et voilà notre République terminée jusqu'à l'année prochaine dont on souhaite qu’elle soit encore mieux fêtée que l'année1915.

Le 15 matin exercice et rentrée avec la pluie, soir resté dans la piole, revue d'armes distribuées, des préservatifs pour les gaz asphyxiants, parti à minuit.

Le 16, après 6 heures de marche, arrivée dans un bois et fait des cagnas, pour coucher le tout et pour le 16 et nous sommes à 17 km de Gérardmer (en Lorraine).

Le 17 dans le bois resté couché dans la cagna tout le jour pluie torrentielle.

Le 18 Dimanche parti de la cagna à 2 heures et demi du matin pour aller faire une tranchée au 24 ème bataillon, ce que l'on a souffert comme marche.

Le 19 j'ai lavé le matin, après diner j'ai été prendre une caisse de grenades, journée assez bonne.

Le 20 parti du bois à 9 heures pour aller renforcer le 24ème bataillon sous réserve dans le bois au-dessus de l'attaque et l'on était tout le temps aux écoutes 1 heure après l'ordre est venu qu'il fallait y descendre et nous voilà parti, ce que l'on a souffert journée mémorable nous sommes restés que deux heures dans le boyau et nous avons remonté et l'on est revenu aux cagnas du 24 ème bataillon. On a fait un bon sommeil.

Le 21 reste équipé tout le jour parti le soir à 5 heures et marché toute la nuit pour aller en première ligne et rester couché dans un boyau tout le jour du 22.

22 alors le 22 resté dans la tranchée repoussé une attaque à huit heures du soir.

Le 23 la même chose toujours dans la tranchée à la même heure repoussé l'attaque.

Le 24 la même chose

Dimanche 25 la même chose et parti le soir à 6 heures arrivé dans la cagna où l'on a bien roupillé.

Le 26 au repos mon capitaine nouveau nous a passé la revue.

Le 27 au repos toujours, parti dans la nuit arrivée à 10 heures, et parti de nouveau le 28 à midi arrivé à 4 heures du soir, ce que l'on a pris pour son rhume dans la nuit.

Le 28 nous avons marché toute la nuit pour aller aux tranchées, puis on s'est retourné, les épaules ont pris quelque chose plus encore on l'a senti. On a couché dehors.

Le 29 dans la tranchée en 3ème ligne on n'a pas fatigué.

Le 30 à peu près comme l'avant-veille dans la nuit on a travaillé à faire les tranchées.

Le 31 la même chose

 

 

1915 (suite)

Le 1er Août je suis été blessé par une balle à 7h30 du soir étant au Linge et ayant pris part à l'attaque, ce qui s'est passé toute la nuiton n'entendait qu'un coup je me suis débiné avec mon mal comme j'ai pu je suis été au poste de secours pour me faire panser et de là je suis allé rejoindre le poste du Bataillon. J'ai couché et le matin on nous expédiait sur Bruyères et de là on m'a évacué à Lons-le-Saunier.

Le 3 octobre quitté Lons-le-Saunier.

Le 6 novembre est rentré à Besançon le même jour pour opération à la chirurgie et opéré le jeudi.

Le 17 à Saint-Anne et quitté Saint-Anne le 3 décembre et rentré à la Mécanothérapie le même jour.

 

1916

Parti de Près-de-Vaux le 12 mars et rentré le même jour à la mécanothérapiede Bourg.

Parti de Bourg le 11 avril pour un mois de convalescence et rentré au dépôt le 13 mai, le 15 j'ai touché le fusil et l'équipement et chaque jour marche et exercices d'assouplissement.

Le 19 mai je suis allé passer la visite à Nice. Le Major m'a mis à recevoir et le 21 mai je suis rentré à l'hôpital N°17 à l'Impérial à Nice.

Le 23 on m'a passé à la radio.

Le 26 commence le traitement qui consiste à prendre l'air chaud sur la cicatrice pour la faire décoller, subir une opération.

Le 4 août incision pour décoller la cicatrice pour soudure tendineuse, sorti de la chirurgie le 17 août parti le 25 de Nice rentré même jour au dépôt de physiothérapie au Fort Carré à Antibes.

Parti d'Antibes le 15 septembre rentré le même jour à 9 heures du soir à Montpellier sorti de la mécanothérapie le 21 novembre et passé au dépôt de physiothérapie même jour.

 

 

1917

En est ressorti le 3 mars pour rentrer au centre de réforme en 1917.

Au 3 mars, en suis ressorti avec permission de 7 jours de convalescence rentré au dépôt le 20 mars.

Paralysie radiale, maintenu service arme propose changement d'arme section d'Infirmiers par la Commission de réforme du 8 Mars 1917 à MONTPELLIER

Parti en permission de détente du 30 mars au 12 avril inclus.

Retour au dépôt. Quitté le dépôt du 27ème bataillon des chasseurs.

Le 29 avril 1917 rentré à la 15ème section d'infirmiers à Marseille.

Rentré le 30 avril.

Le 19 mai départ pour Toulon, embarqué même jour sur le navire Hôpital Duguay-Trouin.

Le 27 départ à 9 heures du matin en rade.

Arrivé le 29 à six heures du matin dans le port de Bône nous en sommes repartis à 11 heures et demi du soir, même jour arrivé à Sidi-Abdallah à11 heures du matin dans la journée du 30 mai, en sommes repartis le 5 juin à 3 heures du matin.

Le 7 notre contre-torpilleur a tiré, arrivé à Millo, Grèce. 3 coups sur un sous-marin.

Le 8 juin à 11 heures du matin de Millo départ pour Salonique. 1 heure de l'après-midi 9 juin.

Le 10 au soir à 6 heures nous débarquions.

Le 11 arrivée à l'armée d'Orient.

Le 16 parti de Salonique à 8 heures du matin, passé au lac Onttrovon, Vertékop, Véria, Florina, Sakulovo, Slivica, arrivé à Slivica à 11 du matin. Départ en automobile à 3 heures de l'après diner, nous avons couché près Iven et nous voilà à Iven.

Le 26 passé à l'ambulance mobile pour évacuation des blessés ou malades.

Le 8 juillet reçu 5 lettres, parmi lesquelles il y a eu la triste nouvelle de mon cousin Elphège qui est mort des suites de sa blessure ou méningite.

Evacué le 18 octobre pour paludisme chronique impaludé depuis août 1917. Forme : fièvre. Date du dernier accès 16 octobre, a-t-il pris de la quinine préventive : oui. L'ictère a commencé en septembre après des accès paludéens, a duré 21 jours, rechute vers le 14 novembre, fièvre. Muqueuse 11 ans bronchite 12 ans - Anémie- Subitère laz rate et le foie ne sont pas gros. Mon diagnostic d'entrée, rentré à l'hôpital N°9 à Salonique.

Le 21 Octobre évacué sur B. Navak.

Le 13 décembre 1917 arrivé à Toulon.

 

1918

Le 18 est sorti de l'Hôpital.

Le 24 janvier 1918, avec 25 jours de convalescence et plus 25 jours de permission, de retour au dépôt le 17 mars 1918.

En suis reparti le 6 mai ayant passé la commission de réforme et versé au 83ème d'artillerie lourde. Arrivé dans ce régiment le 8 mai, inapte dans cette nouvelle arme. Quitté le 83ème R.A.L. le 19 août pour me rendre au 22ème R.A. Campagne.

Parti en permission le 31 août 1918, départ d'Ury 24 octobre 1918, arrivé le 28 octobre au 29ème R.A.Campagne, monté en position, resté deux jours, descendu le 2 et arrivé à Trépail même jour pour prendre le repos.